L’ABASIE DES ARABO-MUSULMANS | Politiques Tunisie Mraski

Publié: 24 février 2012 dans Uncategorized

L’abasie (du Grec : a-, sans, et basis, marche) est un symptôme décrit en neurologie et en psychiatrie. Il désigne l’impossibilité de marcher suite à une coordination impossible des muscles impliqués dans la marche.

L’abasie choréique, causée par une chorée des jambes :

Le monde arabo-musulman souffre sérieusement de cette espèce de mouvements indépendants de la volonté et des troubles de l’équilibre comme un saoul qui titube et qui se balance dans tous les sens sans aucune cohésion. Notre façon de marcher qui se résume à un pas en avant contre deux en arrière et un quatrième sur le côté est une preuve quotidienne de notre façon de se prostituer vis-à-vis de toutes les civilisations comme tous ceux qui bouffent  à tous les râteliers. Ce qui est dommage, c’ est que dans toutes les civilisations on a su prendre que ce qui est apparent, la forme, tout ce qui n’est pas essentiel. On a toujours pris le contenant plutôt que le contenu. Si ce n’est pas con ça ?

C’est notre balancement pendulaire à la con entre le permis et l’interdit. Nous appelons au sortir d’une révolution (accident en fait) à interdire tout ce qui n’est pas « en mesure » de se mettre sous « elmadhagha » (la dent). Cette propension à l’interdiction maladive atteint aussi bien les islamistes que les laïcs…Cette maladie a un nom qu’on feint d’ignorer chez les seconds, c’est l’intégrisme. D’une société soumise, nous sommes passés à une société intégriste…totalement intégriste. Les intégrismes cohabitent ensemble : quel sous-développement intellectuel !

L’abasie paralytique, causée par une paralysie des muscles des jambes, ou de certains de ses muscles : C’est une société paralysée. Pratiquement hémiplégique. La femme, l’autre jambe nécessaire au maintien en équilibre. L’autre jambe nécessaire (et comment !) à la marche puisque même les morveux savent que la meilleure façon de marcher est de mettre un pied devant l’autre. Tout cela à cause d’un archaïsme injustifié et d’une religion qui n’a pas su évoluer parce que née en Arabie chez un peuple qui enterre la nouveau-née dans un trou de sable… des femelles, ils n’en ont pas beaucoup besoin puisqu’ils passent plus de temps en caravane en compagnie de leurs chamelles qu’avec leurs femmes restées chez eux, proies des jeunes amants. Il faut être cocu dans l’âme pour haïr à ce point la femme.

L’abasie spastique, causée par des spasmes de certains muscles des jambes : C’est une société qui réagit par spasmes. Par moment des nerfs s’excitent, allez savoir pourquoi, et donnent un soubresaut, rarement digne, et qui s’éteint spasmodiquement comme il a commencé. Les manifestations depuis 50 ans en sont la preuve. On les voit dans la rue, à hurler, une baguette de pain à la main, prêt à mourir, en nettoyant les rues de la ville par « crise » de propreté ou d’esprit civique, en portant secours aux démunis…dans une incohérence totale et sans tenir le souffle. Il est une caractéristique : on se fatigue et on se lasse très vite dans ce pays où l’habitude consiste à être vissé au sol ou amorphe…

L’abasie tremblante, causée par un tremblement incontrôlable des jambes : En fait, on tremble plus de la trouille qui nous habite que des effets de la maladie. Il suffit de crier au salafiste pour que certains fassent dans leurs pantalons et dans leurs culottes. Ils sont à plaindre : s’ils n’arrivent pas à vaincre leur propre peur comment vont-ils vaincre leur ennemi ?

L’abasie est souvent accompagnée de troubles de l’équilibre et en particulier de difficultés à maintenir la position debout. C’est pour cela qu’on préfère chez nous, comme dans tout le monde arabo-musulman à la con, être assis.

Parfois, il semble y avoir absence de trouble moteur, sensitif ou de la coordination permettant d’expliquer l’abasie. C’est le cas chez les personnes âgées qui craignant la chute, préfèrent rester assis (maladie de Blocq) : C’est de là que découle la peur de tout changement radical, du fameux conseil « osbor » (patiente)…en attendant le miracle.

Nous sommes une population jeune en terme de démographie mais ô combien d’une vieillesse mentale. D’imperméabilité au progrès par conséquent puisque le progrès est affaire d’avenir et l’avenir n’appartient pas aux vieux. Les vieux comme le chante Brel, leur avenir est « du lit au lit ».

Entendre, lire, voir des jeunes appelant à interdire il n’y a pas plus con. A tes béquilles, peuple et surtout ne tombe pas…tu es déjà ridicule.

ce lien fait partie du texte :  http://www.youtube.com/watch?v=M-nyLvIuHDU

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